Témoignage
10 bonnes raisons de faire carrière dans la banque
Pas toujours simple de choisir son orientation… Avez-vous déjà pensé à une carrière dans la banque ? Le secteur bancaire est celui qui recrute le plus de jeunes diplômés et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne manque pas d’atouts.
1. Un secteur en pleine mutation
Les établissements bancaires sont impactés par la digitalisation. Conséquence : certains métiers se transforment et d’autres apparaissent.
Avec la dématérialisation des services bancaires et l’accès à de nombreuses ressources en ligne, le client ne se rend en agence qu’en dernier recours, pour obtenir un conseil bien précis de la part de son conseiller. Une nouvelle pratique qui a totalement remodelé le poste de conseiller de clientèle. Ce dernier ne doit plus se limiter à un rôle de passeur d’informations, mais doit au contraire apporter une véritable expertise à son client pour le conseiller de manière avisée. Et puisque celui-ci est de plus en plus insaisissable, le conseiller doit également maîtriser tous les canaux de communication (visio, chat, mail) et faire preuve de finesse psychologique pour tisser une relation personnalisée avec chaque client. Tout cela rend le métier plus varié, plus passionnant et plus valorisant.
Par ailleurs, les banques sont en plein dans la révolution du big data, de l’intelligence artificielle et de la blockchain. Si pour vous c’est du chinois, sachez que le big data consiste à trier les millions de données que nous générons chaque jour sur internet et à les analyser à des fins stratégiques. L’intelligence artificielle, quant à elle, consiste à développer des outils permettant d’automatiser certaines missions pour que les banquiers puissent se concentrer sur leur cœur de métier : l’écoute et le conseil. Enfin, la blockchain est une technologie infaillible qui sert à stocker et à échanger des informations de manière sécurisée, fiable et non modifiable. Une révolution pour le domaine bancaire, où les données et opérations sensibles sont la norme. Ces technologies impliquant des professionnels dédiés, des professions sont apparues : data scientist, spécialiste blockchain, « chatbot » master, etc.
2. Une large palette de métiers
Le mot « banque » en lui-même recouvre plusieurs réalités. Il peut s’agit de la banque de détail, c’est-à-dire la banque de tous les jours, mais aussi de la banque de financement et d’investissement, qui monte des opérations complexes pour de grandes entreprises, de la banque de marché, qui intervient sur les places financières, ou encore de la banque privée, qui gère les portefeuilles de clients aisés. À noter que les établissements bancaires traditionnels sont souvent hybrides et investissent ces différents domaines. On les trouve même en dehors du secteur bancaire, sur le marché de l’immobilier, des assurances ou encore de la téléphonie, par exemple. Les passerelles professionnelles entre toutes ces entités sont légion.
Bien entendu, les métiers commerciaux sont très représentés (conseiller particulier ou professionnel, gestionnaire de patrimoine, concepteur et conseiller en opérations et produits financiers). Mais les banques proposent également des postes purement financiers (analyste de crédit, analyste financier, gestionnaire de patrimoine, gérant de portefeuille, trader, etc.), des fonctions support (juriste, fiscaliste, comptable, contrôleur de gestion, professionnels de la communication ou des ressources humaines, etc.) et de nombreux métiers IT pour répondre aux besoins du back-office (gestionnaire de back-office, informaticien/chargé de qualité, spécialiste des opérations bancaires, etc.) et à ceux du big data, de l’intelligence artificielle et de la blockchain.
3. Un secteur stable et pérenne
En 2019, les établissements bancaires ont embauché pas moins de 44 000 personnes, dont 60 % en CDI[1] ! D’ailleurs, le CDI est monnaie courante dans la banque. Au Crédit Mutuel, le taux de salariés en CDI atteint même les 94,5 %[2] !
4. Les banques font confiance aux jeunes
Le secteur bancaire est un grand recruteur de jeunes diplômés. Avec une large palette de métiers, il y en a pour tous les goûts, pour toutes les qualifications et pour toutes les expériences.
Côté expérience justement, les banques misent très largement sur l’alternance avant le recrutement. Un dispositif idéal pour favoriser l’insertion professionnelle. En 2019, ce ne sont pas moins de 6 900[3] contrats d’alternance qui ont été signés.
5. Des perspectives d’évolution réelles et rapides
En banque, la promotion interne est la norme, et ça va très vite ! Par exemple, un chargé d’accueilrecruté à bac +2 peut très rapidement devenir chargé de clientèle puis, plus tard, manager commercial et directeur d’agence.
Le secteur mise beaucoup sur la formation afin que les employés développent des compétences qui leur permettront d’évoluer plus facilement. La formation continue représente ainsi en moyenne 4,5 %[4] de la masse salariale d’un établissement bancaire. Dans un groupe comme le Crédit Mutuel, le budget de la formation atteint même 5,5 % (contre 2 à 3 % dans le reste de l’économie). À travers cet accompagnement personnalisé, le groupe entend évoluer au plus près des besoins et aspirations de ses collaborateurs. Au programme, des formations accessibles à chacun et qui sont de plus en plus souvent certifiantes : formations comportementales, managériales ou techniques, notamment pour poursuivre la transformation digitale.
À noter que les perspectives d’évolution sont aussi géographiques. Le fort maillage national et international des grandes banques offre aux salariés de nombreuses opportunités de mobilité.
6. Une vraie qualité de vie au travail
Si les banques ont d’abord une vocation commerciale, la culture du résultat et du chiffre doit cohabiter avec celle de la satisfaction client.
La qualité de vie au travail ne se limite pas à la prévention du burn-out. Le Crédit Mutuel a lancé la campagne #FiersdetravaillerauCréditMutuel pour rappeler certains engagements fondamentaux : humanisme, égalité salariale et équilibre vie privée/vie professionnelle grâce au télétravail.
7. Soutenir l’économie
Les banques sont garantes de la stabilité économique du pays. Dernier exemple en date avec la crise sanitaire de la Covid-19 : elles ont participé à la conception et au déploiement des prêts garantis par l’État et multiplié les initiatives solidaires pour soutenir l’économie – notamment les reports d’échéances de remboursement.
8. Un secteur qui paie bien
On ne va pas se mentir, le salaire est un critère important ! Bonne nouvelle, le secteur bancaire est très rémunérateur. Au salaire traditionnel s’ajoutent souvent des primes d’intéressement et de participation dépendantes des résultats de la banque et, bien souvent, un 13e mois et diverses primes.
Parmi les métiers les mieux rétribués, on retrouve les professions de la finance : contrôleur des risques de marché, actuaire, originateur et trader.
9. Des prêts à taux très avantageux
L’entrée dans la vie active donne souvent le « top départ » des premiers projets immobiliers. En travaillant en établissement bancaire, le financement est parfois facilité par des prêts préférentiels ! Et cela vaut aussi pour les crédits à la consommation.
10. Des métiers qui ont du sens
Les banques de détail sont avant tout des banques de proximité qui entendent faire dialoguer esprit d’entreprise et esprit de solidarité. Elles soutiennent de nombreuses associations et développent des dispositifs innovants, comme la possibilité de profiter d’un retrait pour faire un don à une association.
L’éthique est également très importante du côté des activités bancaires à proprement parler. Les banques proposent des supports d’investissement socialement responsables et s’engagent pour la planète en sélectionnant de plus en plus leurs engagements de crédits et prises de participation en fonction de la durabilité du modèle économique des clients.
[1]. Dans les banques adhérant à la Fédération Bancaire Française (FBF), chiffre 2019
[2]. Crédit Mutuel, chiffre 2020
[3]. Association Française des Banques (AFB), chiffre 2019
[4]. Association Française des Banques (AFB), chiffre 2019